Le Chemin ou la Destination?

Les trajets Explorer et Discoverer sont intensifs et demandent du focus, de l’ėnergie, du temps, en plus  d’un investissement financier de l’ordre d’un beau voyage.

C’est un cadeau qu’on s’offre et ce pėlėrinage au pays de la communication rapporte bien plus en développement personnel, en qualité de vie et en élan vital qu’un trip à l’étranger, aussi exotique en soi la destination.   En plus, il profite à tous: une meilleure écoute, de la bienveillance, plus de clartė, de comprėhension, d’estime de soi, de cohėrence et du plaisir dans le relationnel.

raising-arrows BAOUne tâche qui est donnėe en fin de trajet est de rėdiger un rapport de progression afin de voir d’où on vient et de mesurer le chemin parcouru.

Les senior coachs lisent aussi avec attention le rapport sur les cas pratiques de coaching afin de voir si les outils vus sont bien intégrés.

Chaque candidat-coach rédigera à sa sauce et selon sa sensibilité ce carnet de voyage avant la consécration finale, la certification coach BAO Elan Vital.

A l’instar de Gratia Lauwers (> voir l’article), Vanessa Dubrule –  coach BAO certifiée l’année passée – nous a donné la permission de publier son rapport à titre d’inspiration.

Merci Vanessa pour ce partage gėnéreux et bonne continuation!- Daniëlle De Wilde –

RAPPORT  Cas de coaching Vanessa

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Vanessa Dubrule – Coach certifiée BAO Elan Vital

Via la société dans laquelle je travaille, on m’a confié un Coaching en entreprise avec contrat de 10 séances de 2h.

Contexte :

Dans cette entreprise, l’évolution du statut employé au statut cadre  (avec gestion d’équipe) est conditionné par la réussite d’un examen (un exercice de bac à courrier, un exercice de simulation d’un face to face avec un collaborateur difficile et un exercice de simulation de discussion de groupe avec observation de leur dynamique de groupe et une présentation finale aux observateurs).

L (employé) a passé une 1ère fois cet examen, il a échoué aux 3 exercices… Comme il est identifié comme potentiel au sein de l’entreprise, il a eu la possibilité de repasser cet examen : il a alors réussi l’exercice du bac à courrier mais a échoué aux 2 exercices de mise en situation.

Le feed-back qu’il a reçu après cette 2ème tentative est :

– Pour le face to face : N’a pas accordé assez d’importance à développer le potentiel de son collaborateur, a imposé sa vision des choses et ses solutions, très centré sur la tâche et pas assez sur la relation, manque d’écoute, manque de reformulation

– Pour l’exercice de groupe : Manque d’écoute, manque d’empathie, manque de leadership, manque d’affirmation de soi

Particularité : Même si L. n’a pas encore réussi cet examen (préalable pour accéder officiellement à la fonction de cadre/manager d’une équipe), il assume malgré tout la gestion d’une équipe de 3 employés depuis plus d’1 an mais sans en avoir le titre officiel (ni les avantages en terme de package).

Objectif du coaching : Accompagner L. dans la préparation de son examen (qu’il passera pour la 3ème et dernière fois) en l’aidant à développer son leadership situationnel et à aller vers plus d’intelligence émotionnelle.

Nous explorons sa réalité sur sa fonction actuelle (gestion d’équipe de 3 personnes mais non-officielle), la manière dont cela se passe au quotidien, ses motivations à vouloir réussir l’examen qui lui permettra d’accéder officiellement à la fonction, la manière dont il a vécu ces 2 « échecs », sa compréhension des enjeux de cet examen, sa perception des attentes aux travers des différents exercices,sa position par rapport à ce coaching qui lui a été proposé par son entreprise, ses attentes, la clarification du contrat tripartite et des objectifs définis dans le cadre de ce coaching.

(–> GRow, Ecran blanc, Ecoute active, Questionnement, Reformulation)

logiqueL. envisageait cet examen comme une ‘formalité’, on était content de lui, il est considéré et se considère compétent dans sa fonction, il ne s’attendait donc pas à échouer ; il n’a pas compris les attentes, ni ce qui lui a été reproché, il dit qu’il agirait de la même façon s’il devait repasser cet examen dans l’immédiat.

Avant de revenir concrètement sur les différents tests passés, je décide d’aborder avec lui le fait qu’il exerce officieusement la fonction depuis plus d’un an sans en avoir le titre/les avantages… Il s’avère que L. est mal à l’aise par rapport à cette situation, que même s’il pense donner satisfaction dans sa fonction, il ne se sent pas toujours reconnu (ou ne se reconnaît pas lui-même ??), cette absence de titre officiel et donc de reconnaissance (interne et externe) de sa compétence a un impact sur sa manière d’être et sa manière de faire… Au fil de la séance, nous abordons le concept du Complexe de l’imposteur, les niveaux logiques et ses valeurs.

Au fil du questionnement, L. prend conscience que sans ce titre officiel, il ne se sent pas toujours à sa place, il a souvent l’impression d’être moins crédible que ses pairs qui ont le titre, n’ose pas toujours s’affirmer dans certaines situations… Nous travaillons donc sur la question de savoir ce qui serait concrètement différent s’il avait le titre, ce qu’il ferait de plus ou de moins, sur le fait de savoir si la perception des autres serait différente, si cette absence de titre a un réel impact sur sa valeur réelle en tant que responsable d’équipe…

Petit à petit, il prend conscience qu’il est le seul à avoir cette perception (de moindre valeur) par rapport à l’absence de titre officiel, à se mettre cette pression et qu’en y réfléchissant vraiment, il reconnaît que cela ne le rend pas moins ‘important/méritant’… il lâche un poids !

Je détecte ensuite chez L. les croyances suivantes : « qu’être un bon manager c’est avant tout d’être compétent/performant et de diriger son équipe en lui disant quoi et comment faire les choses »  + « qu’il y a UNE unique bonne manière de faire avec tous les collaborateurs/dans toutes les situations » + « que les émotions/ le privé n’ont pas leur place dans un contexte professionnel »

Nous revenons donc sur l’exercice en face to face avec un collaborateur difficile –> être performant/compétent et diriger t’a-t -il permis de gérer au mieux ce collaborateur difficile ? NON

–> questionnement (questions ouvertes, niveaux logiques, concert abstrait, positions perceptuelles) sur ce qui a été fait, l’impact que cela a eu sur son collaborateur (–> manque de questionnement, d’empathie, trop centré sur la tâche et non sur la relation => n’a pas creusé la réalité de l’autre, n’a pas laissé l’autre s’exprimer, n’a pas accueilli et reconnu son émotion – à savoir ici la colère ) et ce qui aurait pu être fait autrement …

Nous abordons alors grâce aux questionnement/réflexions/mises en situation les concepts de leadership situationnel et d’intelligence émotionnelle. L’importance d’adapter son style de leadership à chaque type de collaborateurs… , ce qui demande aussi une bonne connaissance de ses propres modes de fonctionnement (metaprogrammes) auto-analyse de ses propres émotions, de ses valeurs, de ses croyances (roue systėmique, intention positive) avant de pouvoir reconnaître, accueillir et comprendre ceux de l’autre… l’importance de la communication ‘vraie’, la reconnaissance de cadres de référence différents pour chacun, d’où l’importance de ne pas rester sur ses propres perceptions/préjugés/ aprioris… , mais de faire preuve d’empathie, d’écoute, que pratiquer l’écoute active/le questionnement pour creuser la réalité de l’autre.

Cela nous permet d’aborder également l’exercice de groupe, au-delà de la compétence individuelle, l’importance de la dynamique de groupe, la place laissée par chacun à l’écoute des autres, le questionnement, la reformulation…, ainsi que le fait de pouvoir prendre sa ‘juste place’ au sein du groupe tout en se respectant soi-même et en respectant les autres (croyances sur l’identité).

Au fur et à mesure des séances, nous avons convenu des ‘to do’ : tasking d’observation (être attentif aux informations en lien avec la problématique pour prendre conscience des thèmes abordés en séances : comment je communique, comment je me sens, quelle est l’ambiance dans l’équipe, comment se comportent les personnes autour de moi…) et des taskings de comportement (afin de mettre en œuvre un nouveau comportement : communiquer différemment, oser le questionnement sur la ‘relation’ : comment te sens-tu ? je t’entends soupirer, qu’est-ce qui se passe ? puis-je t’aider ? qu’est-ce que tu en penses ? ).

Bilan du coaching : au fil des 10 séances, j’ai vu L. se ‘transformer’ :-), il s’est détendu, s’est ouvert tant au niveau verbal que non-verbal, il est devenu plus communicatif, plus souriant, se permettant une blague ou une allusion à sa vie privée, à ses enfants… ,  les relations avec son équipe se sont grandement améliorées, son changement de comportement a permis d’accroître leurs motivation et implication, de renforcer la cohésion de l’équipe.  L. se sent plus à l’aise et plus légitime vis-à-vis de ses pairs, de son N+1…, il a bien compris les enjeux et attentes de l’examen, il  se sent maintenant prêt à le réussir. Il a reconnu que le coaching lui avait permis de se sentir plus armé pour passer et réussir cet examen mais surtout que cela lui avait permis de comprendre enfin ce que son entreprise attendait de ses managers et le plus important, d’exercer sa fonction de manière plus ‘complète et authentique’ en améliorant son quotidien tant au niveau professionnel que privé.

Difficile de tout résumer en 2 pages ! Je pourrais encore écrire/décire beaucoup de choses sur les thèmes abordés et les outils utilisés durant ces 10 séances !

EVOLUTION

image1J’ai commencé le trajet explorer en octobre 2013 à une période de ma vie où je me sentais un peu en recherche de repères tant professionnels que privés; en effet, après 7 ans au sein d’un département RH, j’avais pris la décision de démissionner… , je ressentais un grand ras-le-bol, une perte de sens à ce que je faisais couplé à un certain déséquilibre au niveau privé… ,  je ressentais le besoin d’aller vers plus d’authenticité dans mes relations, d’être plus en accord avec moi-même, plus en phase avec mes valeurs de vie.

Au niveau professionnel, souhaitant retrouver une dimension plus humaine dans ce que je faisais et désirant m’orienter clairement vers l’accompagnement des personnes (je venais en effet de terminer 6 mois de mission dans l’outplacement qui m’avaient conforté dans cette voie), j’ai pensé que la formation en coaching ne pouvait être que bénéfique pour atteindre cet objectif professionnel … sans pour autant à ce moment-là imaginer ou envisager de devenir coach.

Avec le recul, je pense que mes motivations premières à entamer cette formation étaient avant tout orientées vers un objectif plus privé/personnel, à savoir, retrouver mes repères dans la vie… me retrouver moi-même !

Depuis l’enfance, je manquais cruellement de confiance en moi, d’estime de moi en fait (Le trajet BAO m’a appris à faire la distinction entre les 2 !), je ressentais un énorme besoin d’être aimée, appréciée, reconnue par les autres… allant régulièrement jusqu’à m’oublier moi-même pour plaire et répondre aux attentes des autres (ou la perception que j’en avais en tout cas).

L’impression alors de sans cesse jouer un rôle qui n’était pas moi, de vivre une vie qui n’était pas la mienne, de ne pas être à ma place… j’avais besoin d’apprendre à me (re)connaître, apprendre à m’accepter, apprendre à oser être moi….. Ce parcours de (auto-)coaching au travers des trajets Explorer et Discoverer, m’a permis d’atteindre cet objectif 🙂

Pour le trajet Explorer, j’avoue qu’au début, je me sentais terrorisée à l’idée de me retrouver au milieu d’un groupe de 20 inconnus, d’être amenée à parler en public, à me dévoiler devant des inconnus, à retirer ce masque de perfection que je m’obstinais à porter, à exposer mes peurs, mes faiblesses, mes parts d’ombre aux autres… et à me les avouer à moi-même ! A cela s’ajoutait le fait que je culpabilisais énormément de m’octroyer ce temps à moi et rien que pour moi, d’avoir pris cette décision de m’engager dans ces 7 week-ends durant lesquels je n’allais pas être disponible pour ma famille … je crois sincèrement, avec le recul, que cette étape faisait partie de ma ‘thérapie’… oser penser et faire des choses pour moi, même si cela pouvait ne pas arranger ou plaire aux autres !

Heureusement, dès le départ d’Explorer, je me suis sentie portée par l’énergie du groupe et des senior-coachs par leur capacité de bienveillance et de non-jugement, ainsi que par la justesse/richesse de leurs feedbacks.

Au fur et à mesure des 7 week-ends, des déclics se sont produits, des poids ont été déposés… pas toujours avec une prise de conscience immédiate, ni sans difficultés parce que beaucoup de choses sont ‘remuées’ durant ces week-ends, on se prend des ‘évidences/révélations’ en pleine face et que çà remet pas mal de choses en question !

Les outils/théories qui m’ont le plus parlés/appris sont :

  • L’importance de l’écran blanc, du non-jugement, de la bienveillance, de l’écoute active, du questionnement et de la présence à l’autre : j’ai appris qu’il ne faut pas toujours vouloir trouver des solutions à tout prix, qu’une simple écoute ou présence sont tout aussi importants et bénéfiques pour l’autre.
  • Les valeurs et les croyances : cela m’a permis de comprendre pourquoi certains contextes et comportements me mettaient mal à l’aise, pas en phase avec l’autre ou avec le contexte…simplement parce que mes valeurs n’étaient pas rencontrées et que je ne pouvais donc pas me sentir en accord avec moi-même si je ne respectais pas mes valeurs principales à travers mes choix et mes actes.J’ai pu détecter certaines de mes croyances limitantes et surtout le fameux concept de l’effet Pygmalion (auto-prophétie) que je ‘pratiquais’ à tout bout de champ envers moi-même et envers les autres, sorte d’auto-sabotage systématique parce qu’à force de croire que tout est nul, que rien ne changera jamais…je me victimisais sans cesse.
  • La roue systémique qui m’a fait me rendre compte que contrairement à ce que je pensais, j’étais beaucoup plus dans la réflexion que dans l’émotion… je pensais être une grande émotive, hors, je les intellectualisais, je ne me permettais pas de les vivre vraiment…et donc de les ressentir et de les accepter ! Et la nécessité aussi de passer à l’action, d’arrêter dans mon cas de rester dans la réflexion (ou d’avoir besoin de toujours tout analyser, tout contrôler avant de me permettre d’agir, d’où le // avec mon profil Analyste)
  • Les cercles avec la zone de responsabilité, la zone d’influence et la zone hors-contrôle qui m’ont permis d’apprendre à mieux accepter ce qu’on ne peut pas changer, ce qui est hors de notre contrôle… avec l’idée de redevenir acteur de sa vie en agissant dans sa zone de responsabilité (plutôt que de se poser en victime)
  • Les petites voix du passé et la reconnaissance de mon profil ‘fais plaisir’ (que je connaissais déjà) mais surtout la découverte de mon côté ‘sois parfait’ très prédominant chez moi et qui m’a fait comprendre beaucoup de choses sur mes comportements (dans mon besoin de plaire, d’être aimée, de répondre aux attentes, mon côté perfectionniste)
  • L’AT avec son triangle dramatique et les notions de victime/sauveur/bourreau dans lequel je me suis très fort reconnue.
  • Le we du tao : avec des phrases marquantes (que j’avais notées et retenues !) comme « l’importance de trouver l’essence de la reconnaissance en soi et pas en référence externe », l’idée donc de m’accepter moi-même, de m’aimer moi-même avant d’espérer plaire aux autres.
  • Et aussi les we coaching symbolique avec des rituels du souffle et des rituels chamaniques qui m’ont permis de ‘vivre’ les choses au niveau du corporel, des émotions… en laissant pour un temps de côté le cérébral’.

Après Explorer, déjà en ‘phase de transformation’ mais un peu chamboulée, j’ai ressenti le besoin d’un break avant d’entamer Discoverer, j’avais besoin que tout cela ‘décante’, je me sentais un peu effrayée par tous ces changements que je ressentais en moi…. et je voulais aussi me prouver que j’étais capable de quitter la sécurité du groupe que je connaissais bien, même si cela m’effrayait … et avec le recul, je sais que j’ai pris la bonne décision…

Ce temps entre les 2 m’a permis de remettre de l’ordre dans ma vie, de faire du tri dans mes idées, mes priorités, de redéfinir mes choix, mes envies, mes objectifs…. j’ai appris à être plus sereine, plus en phase avec moi-même… et donc petit à petit avec les autres.

Au niveau professionnel, j’ai évolué dans mon boulot, j’ai pris de l’assurance, j’ai pris confiance en moi, je me suis sentie reconnue (et je me suis reconnue moi-même aussi!!), j’ai poursuivi l’outplacement (avec l’attitude coach) et commencé le coaching en entreprise..

Et au niveau privé, j’ai retrouvé un équilibre, j’ai enfin compris, reconnu et assumé mes choix, j’ai cessé de blâmer les autres de choses dont j’étais la seule responsable, enfin actrice de ma vie, je suis devenue plus sereine, moins réactive……… tout en n’étant pas parfaite et en souffrant encore pas mal… j’avais encore du boulot à faire dans l’acceptation de mes parts d’ombre.

Quand j’ai démarré Discoverer en juin 2015, je me suis sentie plus à l’aise ou en tout cas moins effrayée par ce groupe inconnu, moins dans le ‘il faut’ ou le ‘je dois’… moins à porter un masque, je me suis sentie plus vraie et plus en phase avec moi-même, moins dépendante du regard des autres.

La mise en pratique des outils vus pendant Explorer m’a confortée dans le fait que j’avais réussi à intégrer la plupart des outils, que certains d’entre eux étaient devenus des automatismes dans mon boulot mais aussi dans ma sphère privée… que j’avais réussi à intégrer l’attitude coach dans mon savoir-être et mon savoir-faire ! En 3 we, je me suis littéralement sentie me ‘déployer’, prendre confiance en moi, dans ma capacité à être un bon coach… mais le plus important, c’est qu’en sortant du dernier we Discoverer, j’ai eu un déclic primordial : j’ai compris que je n’avais pas besoin d’être parfaite, que mes parts d’ombre faisaient partie de moi, qu’elles me rendaient unique, que j’avais le droit à l’erreur, que tout n’était pas noir ou blanc, bien ou mal, joie ou souffrance, merveilleux ou nul… et cela est une vraie révélation pour moi dans mon quotidien !!

Je sais que j’ai encore beaucoup à apprendre, les feedbacks m’ont appris que je peux encore m’améliorer sur beaucoup de points, que je peux encore freiner ma tendance à être dans le conseil (sauveur un jour, sauveur toujours?), que mes questions pourraient être moins ‘complexes/abstraites’, revenir plus dans du concret, que je peux y aller étape par étape sans vouloir aller trop vite, que je peux me retirer ce besoin impératif de résultats tangibles à tout prix, que je peux mieux clôturer chaque séance…… mais avant tout, je sais que je peux faire confiance à l’autre dans sa capacité à évoluer et à atteindre son objectif… et surtout, je sais que je peux ME faire confiance !

 



Catégories :Actualité Ecole Elan Vital, Discoverer

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1 réponse

  1. Merci pour ce partage vraiment inspirant 🙂

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